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 Toi. Moi. Et le noir. [ PV ; ROBERT ]

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Constance I. Williams

Constance I. Williams

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MessageSujet: Toi. Moi. Et le noir. [ PV ; ROBERT ]   Toi. Moi. Et le noir. [ PV ; ROBERT ] Icon_minitimeLun 12 Oct - 15:06

      Toi. Moi. Et le noir. [ PV ; ROBERT ] Img-1505394ibjj

      Toi. Moi. Et le noir. [ PV ; ROBERT ] Wjas6c

      I wan't you,
      I want you so bad,
      I want you, I want you so bad it's driving me mad,
      It's driving me mad.



    Encore une autre journée qui subit le triste sort des autres journées passées à Poudlard… L’ennui total. Assises à leur table habituelle, soit la table des Serpentards, Constance mange, de manière très las, quelques fraises – qui, faut avouer, ont l’air incroyablement succulentes - tout en écoutant jacasser les quelques filles avec lesquelles elle traîne en dehors des cours. Ce qui attira l’attention d’une des filles aujourd’hui ?! Combien elle détestait une certaine Poufsouffle et qu’elle allait, certainement, lui rendre la vie misérable. Voilà ce que Constance doit endurer, jour et nuit. « Elle est tellement idiote cette fille… Trop maladroite.. elle fait penser à ce Alexx… », dit-elle, provoquant alors un pouffement de rire venant de la part des autres filles. Alexx… Constance à un vilain plaisir à lui rendre la vie impossible à ce petit blondinet… Et à son prénom, elle pose son regard sur lui avant de se mettre à rire légèrement. Quel idiot. Écoutant à peine les délires de ces filles, Constance balaye son regard dans la salle commune, espérant trouver peut-être une victime intéressante… Voyons voir… * Hmm… Trop sérieux…. Trop grande… Trop gros… Peut-être bien si j’arrive à trouver quelque chose d’intéressant… *, pense-t-elle alors qu’elle fait bondir son regard d’un élève à un autre dans l’espoir de trouver le remplacement d’Alexx. Bon, pas au sens propre du terme, parce qu’on doit avouer que Constance adore tourmenter Alexx sur ses faiblesses, lui baisser son estime de soi à toutes les occasions qu’elle peut… Mais il y a ce petit côté de lui qu’elle aime bien, et qui lui donne un sentiment de regret à toutes les fois qu’elle l’insulte. Comme elle, Alexx est un adepte d’un instrument fort important aux yeux de Constance. Le piano. Maintes fois, elle a été spectatrice des doigts à Alexx danser contre chaque clé de ce merveilleux instrument, en une douce et délicate mélodie. Et maintes fois, il a été spectateurs à ses mélodies… Et pour une fraction de seconde, ils se sentent bien en présence de l’autre… Jusqu’à ce que Constance ouvre la bouche et le nargue. Quelle insolence, mademoiselle Williams.

    Non, personne ne peut être plus drôle que Alexx dans la torture… Cependant, son regard continue à bondir d’un élève à un autre… Pour enfin regarder les garçons de Serpentards, ceux qui sont une année plus âgés qu’elle. Jamais est-ce qu’ils seraient victimes de ses insultes et de son mépris ! Voyons ! Elle ne peut que les aimer, ces sangs purs, ceux qu’elle appelle ses Alter Ego. Et puis, son regard finit par se stopper sur un de ces garçons. Étrangement, elle sent son cœur rater un battement… Cet organe qu’elle ignorait l’existence jusqu’à ce jour.. Du moins, jusqu’à il y a quelques années, où elle a passé une de ses meilleures nuits en compagnie de ce garçon, justement. La conversation de ses camarades ne l’intéresse plus, et ne l’a jamais intéressé, certes. Tout ce qu’elle désire à présent, c’est lui… Maintenant. Et Constance est réputée pour avoir tout ce qu’elle désire, quand elle le désire. Robert… Ces yeux d’un bleu envoûtant ne se sont pas encore relevés sur elle, toujours en compagnie de ces Serpentards avec lesquels il entretient une conversation, mais c’est déjà assez pour faire cogner son cœur contre sa poitrine avec rapidité. Mais ce n’est quand il lève les yeux que son cœur bat encore plus vite, qu’il bat à tout rompre. Se mordillant la lèvre inférieure, elle sent ses joues devenir chaudes… Cela ne peut que signifier une chose… elles doivent être écarlates à présent. Passant une main dans ses boucles blondes, Constance soutient le regard du jeune homme alors qu’un sourire charmeur naquit à ses fines lèvres. D’un mouvement de yeux, elle désigne le placard à balais… Un des endroits dans lequel ils viennent assez… Régulièrement ? Du moins, sans que le concierge et cette peste qu’il traîne à ses côtés ne s’en rendent compte. « Euh… Qui regardes-tu comme ça ? », lui demande une des filles alors que les autres posent leur regard sur Constance. Rapidement, elle détourne son regard de Robert et regarde les filles qui attendent avec impatience la réponse de la sorcière.

    « Pardon ?! Je ne me souviens pas que ça fasse partie de tes affaires. », crache-t-elle en prenant ses livres qu’elle a déposé sur la table. « J’ai tellement mieux à faire qu’entendre vos histoires pitoyables... » dit-elle en poussant un profond soupire et en se dirigeant lentement vers son lieu de rencontre avec Robert. S’il est intelligent, il aurait attendu quelques secondes avant de partir.. Histoire de ne pas semer le doute chez les autres élèves. Marchant lentement, de manière nonchalante, on ne peut pas en dire autant pour son cœur, qui bat à la chamade. Elle a de la difficulté à se contenter, laissant la hâte de le voir envahir son corps.. La hâte de sentir son odeur, de sentir son cœur battre contre le sien, de goûter à ses lèvres. Cette attente en est trop pour un désir si ardent. Et la voilà arrivée.. Elle se faufile à l’intérieur de ce placard – peu romantique, oui mais quand même – et puis attend avec impatience son arrivée. Son souffle rapide, elle entend des pas s’approcher… Lentement mais sûrement, hein. Se mordillant la lèvre inférieure, elle sent une main venir pour ouvrir le placard.. Et elle sait pertinemment que ce n’est pas ce concierge miteux et son chat, mais bien celui qu’elle a invité à cet endroit… Lui… Nul autre que lui. Alors, prise d’une impulsion, elle ouvre le placard, prend cette main et s’enferme, avec lui, dans ce espace, ma foi, très étroit. « Je ne pensais pas que tu avais compris mon message… », murmure-t-elle contre ses lèvres, décidant de le laisser languir un peu… Quelle tortionnaire.
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Robert W. Fairfox

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MessageSujet: Re: Toi. Moi. Et le noir. [ PV ; ROBERT ]   Toi. Moi. Et le noir. [ PV ; ROBERT ] Icon_minitimeLun 12 Oct - 22:15

    Khalan : - Hé, tu sais que Cédric est à l'infirmerie depuis ce matin ? Il dit qu'il s'est brûlé en s'entraînant. Mais il parait qu'il s'est battu.

    Effectivement, plus tôt dans la journée, un petit affrontement avec eut lieu entre Cédric et un certain Christian. Ce dernier, élève de Gryffondor de troisième année s'était, selon les témoins, insulté par Cédric de manière très peu subtile. N'ayant pas résisté, le Gryffondor l'avait attaqué d'un Incendio. Le sort avec bien touché la cible, à la main. Cédric se trouvait donc depuis à l'infirmerie, sa main et son avant-bras calciné. Heureusement, j'avais été très rapidement mit au courant de l'affaire, et j'avais pus voir Cédric avant les professeurs. Quoi que j'aie dis et fait, il ne dévoila pas son agresseur, expliquant qu'il s'était brûlé en s'entraînant aux sorts de feu.

    Khalan : - Mais personne sait exactement, même pas les prof ...

    En utilisant l'informulation, je le fis taire d'un Bloclang. Le pauvre élève, de cinquième année, fut surprit, et la honte recouvrit son visage. Lorsque je défis le sort, quelques secondes plus tard, il ne prit même pas la peine de recommencer à piailler. A cet instant, je la vis, elle. Alors que je me trouvais dans un état de calme et de sérénité bienfaisant, mon coeur se mit à accélérer ses mouvements, si vite que ma respiration en devenait saccadée. Je vis avec plaisir ses joues se colorer d'un rouge raffiné, mais je continuai à la fixer, yeux dans les yeux. A cet instant, plus rien dans la Grande Salle ne comptait pour moi. Les autres tables avaient beau être pleines, le brouhaha empêchant les simples conversations, tout cela me passait au dessus. Seule elle comptait à présent. D'un regard qu'elle m'adressa, je compris immédiatement à quoi elle pensait. Lorsqu'elle se leva, je me replongeai dans la conversation entreprise avec Khalan. Mais du coins des yeux, je suivais Constance, elle qui marchait avec nonchalance.

    Robert : - Je m'occuperai de ces affaires. Tu es trop curieux ...

    Ce qui pouvait, selon les situations, se révéler être un très mauvais défaut, même si souvent, je l'utilisais à mes propres fins. Puis je me levai, discrètement, si bien que personne ne fit attention à moi. Depuis que Constance avait elle-même quitté sa place, il s'était écoulé presque deux minutes. Elle avait eut largement le temps. Avec légèreté, je marchai jusqu'au placard à balais. Puis en utilisant un sortilège de désillusion, je posai ma main sur la poignée. Puis soudain, la porte s'ouvrit, et je frissonnai lorsque sa main douce entra en contact avec ma peau. Je me laissai aspirer à l'intérieur de la sombre pièce, me collant contre son corps. La situation avait tout pour être, pas très romantique, mais très sensuelle. Je laissai Constance diriger, pour l'instant, les opérations. Elle mit ses lèvres à quelques centimètre de miennes, me narguant, tout en prononçant :

    Constance: - Je ne pensais pas que tu avais compris mon message ...

    A cette annonce, je ne pus m'empêcher d'émettre un fin rire. Pas moqueur, non, je n'oserais jamais, mais plutôt, disons, un rire amusé. Je la connaissais, je savais les liens étroits qui nous unissaient. Notre relation était indescriptible. Et pourtant, je pouvais, certaines fois, lire dans ses yeux tel dans un livre ouvert, chose que je n'arrivais pas tout le temps, et qui m'obligeait à attendre, découvrir, goûter, connaître cet être féminin qui, chaque jour, se dévoilait un peu plus à moi. Je la laissai, sans bouger, pendant quelques secondes, nos bouches toujours autant près l'une de l'autre. Puis lorsque je sentis que le moment était venu, je l'embrassai avec passion, mais sans me montrer brusque. Ce baiser dura longtemps, une minute peut-être, pendant lequel mon esprit divagua, oubliant l'endroit où nous nous trouvions, si peu adapté à de telles situations, ainsi que presque toute les élèves de l'école réunis juste à côté, dans la Grande Salle. Je savais que Mortem, jamais très loin de moi, se cachait non loin de l'entrée, prêt à dissuader n'importe qui oserait s'approcher de la porte. Et même le concierge et son "animal" puant ne pourraient se trouver à moins de deux mètres du placard. L'idéal. Lorsque je manquai d'air, je rompis notre baiser, sans pour autant cesser l'étreinte, et je dis, satisfait :

    Robert : - Comment n'aurais-je pas remarqué ... J'espère ne pas t'avoir fait trop attendre ...
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Constance I. Williams

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MessageSujet: Re: Toi. Moi. Et le noir. [ PV ; ROBERT ]   Toi. Moi. Et le noir. [ PV ; ROBERT ] Icon_minitimeSam 7 Nov - 6:52

    « Je ne pensais pas que tu avais compris mon message… », furent ses paroles qui accueillent Robert à l’intérieur de cette sombre pièce. Sérieusement ? Pensait-elle sincèrement que Robert, parmi tous les garçons de Poudlard, ne comprendrait pas ses messages ? Quelle ineptie que de penser que lui, parmi tous les garçons de l’école, serait ignorant au point même de ne pas comprendre le langage corporel de son amante… Amante. Est-ce le titre qui lui est attribué à cette somptueuse blondinette qui fait tout pour narguer son… amant ? Étrangement, les mots amant et amante ne font pas réellement partit de son vocabulaire, et ne font pas réellement référence à sa relation avec Robert. Elle ne le considère, guère, pas comme son amant ! …. Mais comme quoi, alors ? En est-elle amoureuse de ce Serpentard qui partage pratiquement les mêmes valeurs, la même force, autant intellectuelle que magique ? Elle ne saura dire. Diantre, appelons-les amants… Si nul autre mot ne serait à la hauteur et digne de qualificatif les caractérisant, alors nous allons y aller avec ce terme, malgré tout. À ses propres paroles, un sourire vient se crayonner à ses lèvres, qu’elle fait absolument exprès de frôler contre celles à Robert. Ce qu’elle adore la douce sensation de ses lèvres contre les siennes… Est-ce normal qu’un simple et unique contact, aussi doux et enivrant que celui-ci, puisse nous donner cette étrange sensation de… tendresse ? Pour les personnes dites « normale », qui ont déjà vécu ce genre de sentiments, pour qui ce n’est pas « nouveau », c’est sans doute quelque chose de normal. Mais pour Constance, une fille qui n’a donné ni reçu aucune forme de tendresse… Ressentir ce sentiment lui est complètement anormal, complètement nouveau. Cependant, elle aime étrangement ce sentiment. Elle aime ce sentiment, uniquement s’il est partagé avec celui dont nous allons prendre l’habitude de surnommer « son amant », dorénavant.

    Le silence. Ce fut le silence qui est devenu roi de cette étroite pièce dans laquelle Constance et Robert se sont enfermés. Et comme fidèles gardes ? Minuit et Mortem… Elle sait très bien que Mortem ne laissera jamais passer un curieux petit être à l’intérieur de cette pièce, et Dieu seul sait ce qui est réservé à la personne qui tente de défier Minuit, son chat noir… Pauvre personne, vaut mieux ne pas y penser. Mais ne nous occupons pas de ce qui se déroule à l’extérieur du placard, et concentrons-nous plutôt sur ce qui se déroule à l’intérieur. Deux élèves immobiles, l’un en face de l’autre. Deux élèves dont la chaleur, qui s’empare de leur corps, commence à devenir insupportable. Deux élèves qui se taquinent, qui poussent la limite de l’autre au point de découvrir jusqu’où elle peut vraiment atteindre. Jusqu’à ce qu’il y en a un des deux qui craque, qui plie… Qui abandonne, faisant ainsi sonner les cloches de la victoire pour l’autre. Quel drôle de sentiment que de ressentir, à la capture de ses lèvres, ce sentiment victorieux. Il n’y a rien à être victorieux, Constance ! Les lèvres de la brunettes tenues captive des lèvres de son amant – eh oui, encore avec cette expression – elle glisse doucement le bout de ses ongles le long des bras de ce dernier jusqu’à ce qu’une main se glisse délicatement à la nuque de Robert, tandis que l’autre vient alors se loger sur sa chaude joue. Rien n’a la possibilité de rendre Constance, ce bloque de glace, aussi mous qu’une ficelle et doux tel un agneaux comme les baisers de Robert. Il ne le sais sans doute pas, mais il a ce dont de sortir Constance de ses airs de Tyranne, de ses airs de cruelle tortionnaire, et chambouler son monde au point de la rendre incroyablement douce et rêveuse. Ce sont des baisers comme les siens qui ont la capacité de prendre Constance par la main et de la plonger dans cet océan de souvenirs qu’elle garde précieusement dans sa tête. Un seul souvenir en particulier lui vient à l’esprit alors qu’elle goûte aux lèvres de Robert, et ce souvenir retombe à quelques années plus tôt, lorsqu’ils ont débuté leur aventure à Poudlard. Une nuit… Il n’a suffit d’une nuit pour que Constance soit entièrement et irrévocablement conquise par Robert. Ne sachant pas vraiment pourquoi, mais cette nuit lui est infiniment ancrée dans sa mémoire, et même qu’elle joue un rôle prépondérant dans sa vie. On irait même jusqu’à dire que ce souvenir lui est omniprésent, puisqu’une seule et unique nuit prend possession de ses souvenirs, une seule personne lui obsède les pensées, et cette personne se trouve à être dans cette même pièce étroite qu’elle, entrain de partager un baiser, ma foi, fiévreux.

    Plus le baiser dura, plus elle avait envie qu’il perdure encore, et encore… Elle ne souhaitait plus détacher ses lèvres de celles de Robert, mais hélas, le corps humain en décide autrement. Se séparant des lèvres à Robert en même temps que celui-ci recule les siennes, Constance pousse un profond soupire rêveur alors qu’elle ferme les yeux et qu’elle colle son front contre celui du Serpentard. Et c’est alors que cette voix mélodique s’élève dans ce petit endroit, sa voix à lui… Voix qu’elle saurait reconnaître parmi une foule de monde … « Comment n’aurais-je pas remarqué … J’espère ne pas t’avoir fait trop attendre … ». Cette simple phrase provoqua un léger rire chez la jeune blondinette. À son tour, ce n’était nullement un rire moqueur, loin de là l’idée. Plutôt, comme Robert, un rire amusé. Malgré la noirceur, Constance ouvre les yeux et les lève en direction de la brillance de celles de Robert. Même quand aucune source de lumière n’est présente, elle peut toujours trouver ses yeux grâce à leur brillance. Étrange, n’est-ce pas ? C’est alors avec affection que la jeune femme baisse ses deux mains jusqu’au niveau de la chemise que porte Robert, uniforme approprié à l’établissement. Mais au lieu de se précipiter à déboutonner cet obstacle, elle enroule ses doigts autour de ce tissu et le serre légèrement, approchant ainsi le jeune sorcier encore plus vers elle. Viens… Restes avec moi… Ne quittes pas, veut ainsi dire ce contact si subtil, mais si révélateur. Bien qu’elle sait que Robert ne la quittera pas, il y a toujours ce petit doute qui se sème dans le creux de son cœur, qui n’acceptera jamais le fait que Robert puisse quitter cette pièce. Et c’est enfin, sur un murmure, qu’elle prononce « Si tu m’as fait attendre ?... Oh… Un peu plus et j’allais causer une scène devant tout le monde… Et tu sais que j’en suis capable. », avant de capturer – une fois de plus – les lèvres de Robert en un baiser qui fait cogner son cœur fortement contre sa poitrine. Tellement, qu’elle en est certaine que cette fois-ci, il peut l’entendre. Mais où est le mal là-dedans, vous pensez ?... Voyez-vous… Quand vous êtes une personne qui n’est pas sensé avoir cet organe vital, que nous appelons tous communément « un cœur », c’est très difficile de piler sur son orgueil et son énorme égo, et montrer à la population – ici, dans cette situation, on parle de la source de ce tambourinement – qu’on en a un. Et malgré le fait que Robert soit la raison pour laquelle son cœur cogne fort contre sa poitrine, il serait difficile pour mademoiselle Williams d’avouer que la cause n’est pas une maladie de cœur qu’elle aura prononcé, au pif. Si c’était d’elle, ses lèvres seraient constamment collées contre celles de Robert… Hélas, ce serait beaucoup trop étrange pour l’œil extérieur – soit, les élèves de Poudlard – et beaucoup trop difficile pour survivre s’ils s’y mettaient vraiment. Or, Constance détache doucement, et avec beaucoup de regrets, ses lèvres de celles de Robert et recule quelque peu la tête, un sourire à la fois nourrit d’amusement et de défiance se trace à ses lèvres, malgré le fait que le sorcier ne puisse pas vraiment lire les traits de son visage. « Hmmm… Et si quelqu’un nous entendrait ? », murmure-t-elle, sur un ton faussement interrogateur. Non, en fait, ce que Constance faisait c’était de mettre à l’épreuve la qualité de la réponse à Robert. S’il lui disait qu’ils devraient déménager le tout dans un des dortoirs, eh bien il y a de fortes chances qu’elle soupire et qu’elle quitte. Cependant, s’il dit qu’il s’en fiche, il aura passé l’examen surprise et tout peut reprendre son cours. Tout est une histoire de réponse, sauras-tu y répondre comme il se doit, monsieur Fairfox ?
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Robert W. Fairfox

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MessageSujet: Re: Toi. Moi. Et le noir. [ PV ; ROBERT ]   Toi. Moi. Et le noir. [ PV ; ROBERT ] Icon_minitimeMar 8 Déc - 10:39

    Constance me fixa alors. L'effet en fut immédiat : je sentis un frisson me parcourir la colonne vertébrale. Mais ce frisson, ce n'était pas celui que je ressentais lorsque le danger approchait, ou lorsque je pratiquais la Magie Noire. Non, cette sensation était bien plus profonde, bien plus pure. L'amour ? Ne l'ayant jamais vraiment connu, je l'avais profondément enterré depuis la mort d'Anna, ma petite sœur. M'obligeant à ne pas penser à elle, je sentis les mains de Constance se glisser sur ma chemise, puis me tirer vers elle. Une poussée d'adrénaline me subjugua. J'adorais quand Constance jouait avec moi, quand le jeu du chat et de la souris se prolongeait. Jouer avec sa proie, c'était ... jouissif. Et puis au final, nous nous retrouvions toujours, ensemble. Et le pire, c'était qu'à chaque fois, c'était différent. Impossible à décrire donc, mais c'était pour moi des instants de bonheur immense. J'accueillis alors avec sourire la remarque de Constance, qui disait que si j'avais tardé encore quelques instants, elle aurait fait un scandale devant tout le monde. Effectivement, je l'en savais capable. Je n'eu même pas le temps de répondre, car je fus happé par les lèvres de Constance. Pris au dépourvu, je ne pu pas, je ne voulu pas, réagir. Respiration accélérée, cœur rendu fou, elle était maitre de moi. Je n'aimais pas trop avoir quelqu'un capable de me maitriser, de me modeler à sa guise. En fait, je détestais ça. Ma nature de dominat, de préfet, ainsi que de Mage Noir, tout ça mélangé, donnait quelque chose d'assez fort. Mais Constance, elle, et seulement elle, avait le pouvoir de me rendre aussi doux qu'un agneau.

    Avec regret, je sentis Constance séparer ses lèvres des miennes. J'en voulais encore, je voulais sentir ses pulsations, sentir son cœur battre pour moi. Était-ce de l'amour ? Peut-être. Elle me demanda alors ce qui se passerait si quelqu'un nous entendait. En y réfléchissant un peu, je me rendis compte que nos ébats pouvaient être entendus de l'extérieur. De toute façon, Mortem m'avertirait bien avant que quelqu'un s'approche suffisamment de la porte pour être dérangeant. Au pire, il pourrait dissuader tout intrus. Toutefois, je préférais être prudent, alors j'informulai un Collaporta. Le petite bruit de succion, que j'atténuai au maximum, mais que si fit tout de même entendre prouva que mon sort avait réussit. Avec cette protection, nous étions déjà bien protégés. Mais pour éviter la venue d'un quelconque curieux, attiré par des bruits étranges, je jetai un sort qui rendait tout ce qui se passait dans le placard à balais silencieux. Ainsi, nous étions sûrs de ne pas être surprits. Je lui dis alors, en collant ma bouche contre son oreille, tout en murmurant de manière ... sensuelle ?

        Je te promet que personne ne nous entendras.

    Elle n'avait, normalement, pas remarqué que j'avais informulé deux sorts. J'avais fais exprès de me dépêcher, si bien qu'après une seconde, je fus de nouveau libre. Après avoir terminé ma phrase, je collai mon torse au sien, ma tête légèrement plus haute que la sienne. J'appuyai mon front contre le sien, et en la fixant au plus profond de ses yeux, je lui déposai un baiser sur les lèvres ...
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Constance I. Williams

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MessageSujet: Re: Toi. Moi. Et le noir. [ PV ; ROBERT ]   Toi. Moi. Et le noir. [ PV ; ROBERT ] Icon_minitimeMar 22 Déc - 4:48

    « Je te promet que personne ne nous entendra. », furent les paroles qui se sont libérées d’entre les lèvres à Robert en guise de réponse à son petit test surprise. Et la manière dont il l’a dit aussi… Constance n’a pas l’habitude d’entendre, en provenance de Robert, une voix aussi sensuelle… Une voix qui lui fait naître une multitude de frissons qui lui traversent son corps pâle et frêle. Baissant les yeux en souriant, elle hoche positivement la tête et sent enfin le corps à Robert venir se placer délicatement contre le sien. Elle sent la chaleur qu’émane le corps du sorcier venir envahir son propre corps, elle sent ses pulsions cardiaques en rythme avec les siennes, sa respiration en parfaite synchronisation avec la sienne… Relevant la tête, elle plonge son regard verdâtre dans celui du sorcier, et sent soudain son visage devenir chaud… Il doit être écarlate à l’instant précis… Écarlate, comme à toutes les fois qu’ils se fixent avec autant d’intensité, si bien qu’elle ne puisse empêcher la chaleur de lui monter à son visage à une vitesse ahurissante. Encore une chance qu’ils sont prisonniers des ténèbres de ce placard, sinon Constance ne saurait absolument pas quoi répondre à Robert qui, sans aucun doute, remarquera le changement de son teint.

    Les lèvres à Robert vinrent se déposer contre les siennes en un baiser nourrit d’une fébrilité qui leur est très familière. À tous les soirs, ou presque, ils passent la nuit l’un dans les bras de l’autre, naïfs prisonniers du vice et du désir, ne pensant qu’ils sont simplement attachés l’un à l’autre par principe physique. L’amour est beaucoup plus malins qu’il ne vous le laisse penser. Vous faisant croire que vous n’êtes que physiquement attachés à une personne, mais vous ignorez totalement son véritable rôle… L’amour peut vous faire croire une chose, alors que c’est totalement le contraire. L’amour peut vous faire croire que vous détestez une personne, mais qu’en réalité, vous en êtes éperdument amoureux. L’amour peut vous faire croire que vous êtes attachés à une personne que physiquement, alors qu’un tourbillon émotionnel se produit dans votre inconscient, un tourbillon qui vous gruge de l’intérieur, qui ne désire que se faire satisfaire… Un tourbillon qui ne souhaite simplement que vous réalisez ce qui se passe réellement dans votre cœur. Que ce cognement rapide qui se produit à l’intérieur de votre poitrine n’est pas causé par une anomalie cardiaque, que cette respiration accélérée n’est pas de l’hyperventilation, et que ces papillons agités dans votre ventre, qui tourbillonnent de partout, qui s’agitent lorsque vous regardez la source de qui les cause n’est pas dû à cause de la nausée… Mais bien de l’amour. L’amour qui vous dit que, finalement, après toutes ces nuits charnelles, baignées dans la passion et la désobéissance, l’amour se pointe devant vous et vous dit « Pauvre idiot, vous êtes amoureux. » Et puis vous, vous ne comprenez pas… Amoureuse. Constance l’a sans doute toujours été face à ce sorcier d’un an son aîné. Et là… À ce moment précis… Au moment où elle le réalise, alors qu’elle partage ce baiser fébrile avec Robert, elle sent la terre entière cesser sa rotation, et tout devient immobile. Tout.
    Tout, sauf eux.

    Ses doigts fins patinent délicatement le long du torse à Robert, pour finalement déposer sa main froide sur sa joue, et enfin rompre le baiser avec tant de regret. « Tu m’as manqué… », murmure-t-elle en fermant les yeux. Il lui a manqué ? Ah ? En fait, la veille, leur rencontre aurait été beaucoup trop risquée, alors ils ont préférés choisir la voie de l’abstinence. Alors que les adultes favorisent ce genre de comportement, la blondinette, quant à elle, n’a pas eue sa dose de Robert. Ceci dit, elle dépose son front contre l’épaule du Sorcier, qui doit être habitué à sa délicatesse dans les moments comme ceux-ci. Moments qu’ils passent ensemble, qu’eux deux. Moments où Constance n’a pas honte de montrer sa dépendance, sa délicatesse, sa sensibilité. En cas contraire, ces mots n’auraient jamais daignés traverser ses lèvres ! Elle n’aurait jamais oser ! Dire ça devant les gens ? Non mais c’est un suicide social ! Et Robert en est parfaitement conscient. Déposant un baiser sur le cou du Sorcier, elle lève les yeux vers celui-ci et redresse enfin la tête. De ses deux mains, elle déboutonne la chemise du sorcier tout en murmurant, ne sachant pas qu’il a appliqué un sort d’insonorisation à la petite pièce dans laquelle ils sont, « Combien de temps avons-nous, tu penses ? ». Premier bouton détaché. Et le deuxième s’en suit. Quatrième. Sixième…. Et enfin, elle dépose ses mains froides contre le torse à Robert et sent les frissons venir lui parcourir sa peau douce, provoquant un sourire aux lèvres de la blondinette. Si c’était d’elle, ils passeraient l’éternité dans cette pièce qu’eux deux…
    Si seulement c’était d’elle.
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Robert W. Fairfox

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MessageSujet: Re: Toi. Moi. Et le noir. [ PV ; ROBERT ]   Toi. Moi. Et le noir. [ PV ; ROBERT ] Icon_minitimeMer 23 Déc - 21:53

    Pendant notre baiser, je sentis le monde tourner autour de Constance, comme si elle était mon unique raison de vivre. C'était, à la fois, un mensonge et une vérité, impossible à trancher. Je ne respirais presque plus, donné corps et âme à cette femme pour qui mon coeur battait. L'aimais-je vraiment ? Si quelques temps auparavant j'aurais affirmé que ce n'était qu'une relation charnelle, je savais à présent que ce n'était plus ce plaisir physique qui me faisait, chaque jour, passer mes nuits avec Constance, c'était bien plus profond que ça. Rien que me trouver à proximité, sentir sa présence, était pour moi une bouffée d'air frais.

    Ses doigts me donnèrent des frissons lorsqu'ils parcoururent mon torse, comme des fourmis rejoignant leur dôme. Sauf que la main ne s'arrêta que sur ma joue. Sa main, d'une fraicheur rare, me sortit de la torpeur dans laquelle le baiser m'avait plongé. Quand je l'embrassais, je n'étais plus de ce monde, semblable à un fantôme s'élevant dans les airs, oubliant le reste. Elle me murmura que je lui avais manqué. Comme unique réponse, je lui apposai un autre baiser sur le front. Si seulement elle savait comme les minutes sans elle étaient longues ! Être avec elle étaient les meilleurs moments de ma journée, de ma vie même ! Je lui prit la tête entre mes mains, et en la fixant droit dans les yeux, je susurrai :

        Toi aussi. Que le temps est long sans toi ...

    Le soir précédent, notre rencontre n'avait été que trop courte, et le l'endroit trop risqué pour laisser notre amour s'exprimer librement. Lorsqu'elle posa sa tête sur mon épaule, je passai ma main dans ses cheveux, tel des serpents se faufilant entre les hautes herbes. Lui caressant la nuque, je montai jusqu'au sommet du crâne, humant son parfum, son odeur, en fermant les yeux. Lorsque Constance m'embrassa le cou, je ne pus réprimer un autre frisson de plaisir, tandis qu'elle plongea ses yeux dans les miens. Puis ses mains s'attelèrent sur ma chemise, et tandis que le premier bouton se détacha, elle me questionna sur le temps que nous avions à disposition. En posant mes mains sur ses omoplates, je lui répondit tendrement :

        Autant de temps que tu voudras mon ange.

    Ha oui, elle ne savait pas que j'avais protégé la salle pour que nos ébats ne se fassent pas entendre, ni que nous ne soyons interrompus. Et puis la Grande Salle était pleine, tous les élèves mangeaient, et dès qu'ils auraient terminés, ils ne resteraient pas longtemps à table. Le nettoyage aurait lieu automatiquement par magie, comme à chaque fois. En fait, je me demandais bien à quoi pouvait bien servir le concierge. Car à part réprimender les élèves, je ne le voyais jamais nettoyer ... Puis ma chemise finit par être complètement ouverte. Constance posa ses mains fraiches sur ma peau nue. Ce simple contact provoqua en moi une sensation étrange. Comme à chaque fois qu'elle me touchait en fait. Le sourire qu'afficha Constance me fit sourire à mon tour. En enlaçant Constance, ma chemise tomba. Dommage ...

    En me collant à elle, je la plaquai contre le mur du fond ; toutefois, ce ne fut pas avec violence, et son contact contre le fond du placard fut doux, et mes mains protégeaient son dos de tout choc ... Je posai alors mes lèvres sur son coup, le couvrant de petits baisers sensuels ...



    ( Dis, elle porte quoi Constance ? Razz )
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